A Messieurs Emmanuel MACRON et Olivier FAURE…

Comme je l'écris ci-dessus "République française" ! La France terre de libertés, de sacro-saintes libertés ! Mais jusqu'où vont -elles ?...

Alors, je prends la liberté de m'adresser aux deux personnes politiques en qui, actuellement, j'ai confiance : Emmanuel MACRON, Président de la République, et Olivier FAURE, Premier secrétaire du parti socialiste…

Messieurs, après des mois de souffrances tant physiques que morales, je ne peux accepter qu'au nom de liberté et d'idéologie, ils soient encore possibles que des personnes organisent des "rave-party" sans qu'il y ait de sanctions, de graves sanctions.

Ce jeune qui ose dire sur BFM "On assume" n'assume rien ! Devant les caméras, lui et son pote sont masqués alors que les vidéos précédentes montrent que tous les "teufeurs" sont sans masques, collés-serrés, etc.

Se souviennent-ils de la réunion religieuse de l'Est qui a engendré une contamination nationale jusque dans les DOM ?

Alors, MM. Le Président et Premier secrétaire, je vous demande d'intervenir sévèrement et gravement pour nous protéger, nous les citoyens qui avons compris que nous devons accepter le confinement, accepter de ne plus voir nos proches, enfants et petits-enfants. Pour ce faire, je vous demande :

1 – De poursuivre en justice les organisateurs et les participants

• Pour avoir organisé la rave-party et au titre de l'article L 223-1 du code pénal qui punit toute personne mettant en danger autrui de 1 an de prison et de 15 000 euros d'amende,
• Puis, en cas de décès d'une personne présente à cette même rave-party, du fait d'avoir organisé ladite party et au titre de l'article L 221-1 du Code pénal qui condamne à 30 ans de réclusion criminelle,
• En cas de plusieurs décès, de cumuler les peines,
• Pour détérioration de bien public, suite à l'incendie sur véhicule de gendarmerie,
• Enfin de les condamner pour "coups et blessures volontaires sur un militaire de la gendarmerie chargé de mission de service public" au titre des articles L 222-8 et suivants du Code pénal

2 – D'obliger les organisateurs et participants à régler tous les frais

• Suite à la détérioration de matériel public,
• Dûs aux soins médicaux qu'engendrerait une possible contamination les concernant.

3 – De prendre des sanctions envers les médias

• De les poursuivre pour complicité de mise en danger d'autrui en interviewant un quelconque participant,
• D'interdire toute publicité faite à ce genre de manifestation.

Si vous ne pouvez faire tout cela, alors, je vous demande de confiner toutes ces personnes sur le lieu-même de leur rave. Ils ont fait un choix : ils assument ! Quant au ravitaillement, il doit être laissé, tant dans l'intendance que dans les finances, à la responsabilité des organisateurs

Pour conclure, je m'adresse à ces "teufeurs"

Pourquoi ne pas faire votre propre rave chez vous :

1.  La musique ? Elle se trouve partout et vous pouvez la mettre à fond…
2. Lucy ou toute autre amie du même genre ? Vous devez connaître les réseaux pour qu'elle puisse vous accompagner partout ! Ah, j'allais oublier de vous dire qui est Lucy… Ecouter les Beatles et vous verrez que vous n'inventez rien avec vos raves mais qu'à mon époque, nous ne condamnions potentiellement personne à mourir ! Que nous avons eu Woodstock et que, là encore, nous n'avions mis en danger personne d'autre que nous-mêmes !
3. L'alcool ? Si vouspouvez prendre la route et dépenser de l'argent dans l'essence, alors, vous pouvez acheter de l'alcool en vente libre dans toutes les épiceries !
4. Le sexe ? Invitez qui vous voulez et éclatez-vous si vous voulez.
5. Mais…. RESTEZ CHEZ VOUS !!!!

Pour finir, Monsieur le Président et Monsieur le Premier secrétaire du Parti socialiste, je vous demande d'être soudés dans cette démarche et d'avoir le même langage de condamnation officielle. Cela rassurerait sûrement énormément le reste de la population française dont je fais partie. Cela ferait taire tous les échanges malsains des réseaux sociaux qui sont pour ou contre les raves party qui ont lieu actuellement mais qui ne sont pas toujours cordiaux ni civiles.

Si une action de justice devait avoir lieu, je vous demande d'en faire une large publicité par le biais de ces médias qui savent si bien remuer la boue mais ne pas se salir les mains.

Je vous remercie par avance de m'avoir lue – si vous m'avez lue – et dans le premier cas, j'espère une réponse…

Je reste donc toujours dans mes deux bulles, à la maison, je continue les soins dont j'ai besoin, je continue de respecter la distanciation, j'attends que les médecins qui me suivent me disent de me faire vacciner mais j'attends surtout que TOUS les français fassent de même !... (le vaccin restant un choix personnel)