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Antequam... la généalogie !
Antequam... la généalogie !
  • La généalogie vue autrement... Antequam, Christiane MENOT, est une généalogiste familiale professionnelle qui n'oublie pas ses trente années d'expérience en tant que généalogiste amateur...!
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27 novembre 2017

La rédaction d'un article…

I

liberté

l ne faut surtout pas croire que la rédaction d'un article pour son blog est chose aisée… Enfin, pas pour ceux qui respectent leurs lecteurs !...

Quel que soit le sujet débattu, il y a des recherches à effectuer afin d'être le plus clair possible, de laisser le libre-arbitre au lecteur, ainsi que la possibilité d'avoir un choix d'opinion, de décision…

Lorsque la démarche est généalogique, c'est plus aisé. En effet, les recherches d'état-civil sont la base puis, en fonction de ce que le rédacteur veut raconter, les recherches s'étendent, ou peuvent s'étendre… : les actes notariés, les recensements, le militaire, … Bref, les recherches classiques mais que le lecteur attend en complément d'informations. Le principal : ne pas rechercher. Donc, le lien hypertexte est nécessaire puisque la publication d'un document d'un dépôt d'archive est soumise à autorisation… Ainsi, le lecteur lit l'information telle quelle ou va plus loin et détaille lui-même le document utilisé pour la rédaction de l'article publié.

Lorsque le sujet est personnel sur tel ou tel débat du moment, le rédacteur laisse libre cours à ses émotions ; à ses ressentis. Mais, attention, tout ne se dit pas sur la toile ! Toujours veiller à être irréprochable soi-même : si le rédacteur chercher la petite bête chez l'autre, ce dernier peut chercher la petite bête chez lui… L'arroseur arrosé… Si le rédacteur cherche à faire le buzz, c'est aisé, mais…

Lorsque le sujet est d'ordre général, le rédacteur a besoin de sources. TOUT rédacteur a besoin de sources ! Là, la difficulté est de ne pas recopier mot pour mot ce qui se trouve sur le net. Le rédacteur doit respecter son lecteur, et, pour cela, au moins retravailler les textes, sinon, là encore, le lien hypertexte est très utile. Pourquoi expliquer ce que d'autres ont déjà fait avant nous ?... Ensuite, ne rester que sur ce qui est écrit sur la toile, avec une seule source, est trop facile : le rédacteur écrit pour écrire et non pour informer !

Et puis, ce qui se trouve sur la toile peut être erroné : le premier rédacteur a-t-il cité ses sources ? Est-il possible de vérifier ce qui est écrit ?... Non ? Alors, à vos livres, vos dictionnaires, vos encyclopédies, vos ouvrages de bibliothèque… Il faut lire, noter, relire, renoter pour finir avec une synthèse qui donnera un super article, qui donnera envie au lecteur d'approfondir ce que le rédacteur à publié !

Lorsque le rédacteur a déjà écrit sur le sujet – cela arrive souvent, il est important, si l'information est contradictoire, d'expliquer pourquoi un revirement d'opinion, souvent radical ! En effet, l'expérience nous fait apprendre, nous fait grandir, et c'est cette expérience qu'il faut partager. Nos erreurs nous font progresser… J'ai déjà écrit que tout se garde sur la toile, alors, si le rédacteur écrit le contraire de ce qu'il a écrit quelques années plus tôt, même sur un autre site, le lecteur a la possibilité de le savoir : les politiques ne l'ont malheureusement pas compris, ou ne veulent pas le comprendre !

La liberté du rédacteur s'arrête là où commence l'obligation du respect dû au lecteur !... Et puis, il faut toujours laisser à César ce qui est à César et non s'approprier une information, une rédaction, qui n'est pas la nôtre…

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Commentaires
P
Je suis d'accord avec 90% de ce que tu écris. Pour les 10% restant, la différence tient à la notion de blog. Pour moi, c'est un journal, pas un guide de recherches. Excepté les articles "didacticiels" où les sources doivent être indiquées pour que le lecteur puisse tester ce que je dis, les autres articles sont des "histoires que je raconte". Lorsque je raconte une histoire, je ne m'arrête pas pour donner des cotes d'archives. Par contre, ces sources et ces cotes sont disponibles sur simple demande. Il suffit juste de les demander, ce que font régulièrement mes lecteurs. <br /> <br /> 10% de désaccords, c'est bien ; cela entretient la discussion.
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